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Splintered in the empty world ?

 
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prayer
Disintegration
Disintegration


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MessagePosté le: Sam Juil 21, 2012 17:29    Sujet du message: Splintered in the empty world ? Répondre en citant

En écoutant 3 concerts "Reflections" (2x Sydney et 1xRAH), je m'suis rendu compte que le début de Splintered In Her Head a été changé par le début de The Empty World
(As stiff as toys / And tall as men / And swaying like the wind torn trees),
la suite est également un peu confuse.

Changement voulu, p'tit délire de Robert, bizarre ! Shocked Smile
Quelqu'un en sait un peu plus ?
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YOKO ONO
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MessagePosté le: Ven Aoû 10, 2012 01:44    Sujet du message: Répondre en citant

(petit a) Soit tu es très très très pervers, soit tu as une déformation congénitale (de l'oreille). Chapeau d'avoir relevé ce truc.

(petit b) Effectivement, ya glissement entre Splintered in her Head et The Empty world, et on touche là, à la Sublime Charnière de Son Histoire ('82-'83-'84).

(petit c) Je te connais pas prayer, mais je sais que tu fais des très très bonnes choses en chocolat, très très tôt le matin (ou tard pour d'autres) du côté de Colmar. J'en suis très très fou, et si tu le veux bien je viendrai te rencontrer très très bientôt.

(petit d) Les dernières interview, un peu action vérité, un peu chiantes, ont établi le fait que dorénavant R.S. n’affronterait plus le public qu'autrement que totalement déchiré.

(petit e) Il en résulte que pas un seul concert depuis un an (j'ai participé à quelques un) n'a rendu multiples versions "alternatives". Écoute tous les boots et streams, y a pas un coup ou il part pas dans un portnawak sur des morceaux déjà joués 700 ou 800 fois publiquement (vrais chiffres). Et je comprend aussi, par le fait, la nécessité de jouer les même 30 morceaux, depuis 25 ans, de manière à autoriser un pilotage automatique sous substances.

(petit f) 30% des textes de The Cure sont sexe. 30 % des textes de The Cure sont drogues. 30 % des textes de The Cure sont sexe sous drogues. (reste 10% pour dire je t'aime dans la clairièèèèère et si on se mariait en mangeant du Jambon ?)

(petit g) Il en résulte forcément confuse entre Splintered In Her Head

Citation:
Shape is still
Asleep
With the toys
As tall as men
The pictures in the hallway
Turning inside
Whispers
Unseen
Jumping against the sky
Slipping away
He looks
For the last time


(Tu notes au passage que c'est pas du Indochine)

Et The Empty World

Citation:
As stiff as toys
And tall as men
And swaying like the wind torn trees
She talked about the empty world
With eyes like poison birds

She talked about the armies
That marched inside her head
And how they made her dreams go bad
But oh how happy she was
How proud she was
To be fighting in the war
In the empty world


Je te laisse recenser les 30% de sexe, les 30% de coke (champi, hero, acid, MDMtruc...) et les 30% des deux.
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TOBERR
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MessagePosté le: Ven Aoû 10, 2012 07:18    Sujet du message: Répondre en citant

Il me semble que ces deux titres font partie, avec Charlotte Sometimes, d'une trilogie inspirée du roman de Penelope Farmer.
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Lostever
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MessagePosté le: Ven Aoû 10, 2012 08:39    Sujet du message: Répondre en citant

Tout comme Toberr il a dit
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YOKO ONO
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MessagePosté le: Ven Aoû 10, 2012 11:28    Sujet du message: Répondre en citant

C'est qui le patron ?
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billouparis
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MessagePosté le: Ven Aoû 10, 2012 23:03    Sujet du message: Répondre en citant

Je me sens vraiment mal à l'aise, pire qu'un néophyte.
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Bill

Il y a des chances que rien n'bouge.

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rendal
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MessagePosté le: Sam Aoû 11, 2012 16:11    Sujet du message: Répondre en citant

Pas forcemment besoin d'avoir l'oreille d'un pervers pour relever qu'en effet, quelques phrases de The Empty World se sont glissées ds Splinterhead, je crois même que le public l'avait remarqué (on peut entendre sur un boot le public réagir après le premier vers). Et puis ce n'est pas non plus une nouveauté que Smith soit TOUJOURS bourré sur scène...
Celà dit, pour le lien romanesque entre les 2 titres et les paroles de Splinterhead, j'ignorai...

rendal
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YOKO ONO
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MessagePosté le: Sam Aoû 11, 2012 23:07    Sujet du message: Répondre en citant

billouparis a écrit:
pire qu'un néophyte.

Et moi alors. Le SEUL VRAI FAN officiel ici. Au bord de la dépression.
J'ai immédiatement interrompu mon université d'été Ash Ra Temple, glissé un cahier de vacance Passeport (volume Splintered In Her Head) dans mon sac à dos.
Voici le fruit de mes révisions:

Y a un truc que je ne savais pas. Le titre Splintered In Her Head est une citation de Charlotte Sometimes (le livre).

D'autres trucs que j'avais su et oublié depuis. Très intéressants.

La pochette de Pictures Of You est la pochette de Charlotte Sometimes. (la photo d'avant on va dire).



Penelope Farmer raconte dans son blog un wagon d'anecdotes croustillantes.

Comment sa gamine au retour de l'école lui annonce qu'un disque Charlotte Sometimes est sorti. Comment elle s'offusque en découvrant l'odieux pompage. Non seulement Charlotte Sometimes est volée, mais Splintered In Her Head aussi. Jusqu'aux locaux même de Fiction: Le Charlotte House, shocking. Son éditeur prêt à mettre en branle la machine judiciaire
L'issu d'un procès eu été le retrait du titre du catalogue de The Cure.
Au dernier moment mémère y renonce, estimant qu'elle aurait plus à gagner de la notoriété rendue que de la disparition du titre.

15 ans plus tard elle est invitée backstage du Swing Tour. Elle raconte la coulisse et comment Smith lui tend un exemplaire usé jusqu'à la corde, pour obtenir une dédicace. Elle s'amuse de la couverture un peu nunuche.
"L'édition pour fille".
J'imagine que c'est celle-là:

Les pages sont surchargées d'annotations, de surlignage.
Smith lui raconte à quel point son livre est "fondateur". Il lui raconte comment son grand frère lui lisait des contes, le soir pour l'endormir, parmi lesquels le livre de Farmer et ce, malgré son âge avancé (plus de 12 ans...).

On retrouve tout ça et bien plus dans le blog de mémère:
http://grannyp.blogspot.fr/

@ rendal
M'est avis que si le public se déchaine sur le premier vers de Splintered In Her Head, c'est plus pour Splintered In Her Head que de se dire "diantre ne serait-il pas en train de chanter une phrase de The Empty World".

C'est nouveau qu'il déclare que s'il y a si peu de concerts c'est qu'il n'arrive plus à s'exploser la tronche lendemain après lendemain.
Je suis frappé aussi sur cette dernière tournée par le partage systématique en couilles des classiques qu'il devrait pouvoir chanter les yeux bandés, pendu par les pieds avec du Céline Dion dans le casque. (The Walk, O.H.Y., L.G.T.B. Disintegration etc...)
Les 40 mêmes titres joués depuis 40 ans, quasi dans le même ordre.
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intothetrees
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MessagePosté le: Dim Aoû 12, 2012 01:43    Sujet du message: Répondre en citant

salut ça va ? a écrit:


@ rendal
M'est avis que si le public se déchaine sur le premier vers de Splintered In Her Head, c'est plus pour Splintered In Her Head que de se dire "diantre ne serait-il pas en train de chanter une phrase de The Empty World".


Laughing

salut ça va ? a écrit:

Je suis frappé aussi sur cette dernière tournée par le partage systématique en couilles des classiques qu'il devrait pouvoir chanter les yeux bandés, pendu par les pieds avec du Céline Dion dans le casque. (The Walk, O.H.Y., L.G.T.B. Disintegration etc...)


Re Laughing


Pour le reste, c'était vraiment intéressant. Des cahiers de vacances comme ça, il faut une suite !!!
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rendal
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MessagePosté le: Dim Aoû 12, 2012 17:21    Sujet du message: Répondre en citant

Nan, nan, nan, j'ai pas le temps là, mais je suis sur qu'une partie du public (de Sydney?Londres?Los Angeles?New York?) a bien reconnu The Empty World dès le premier vers (pour reconnaitre SIHH il suffisait d'écouter la batterie) !!!

Sinon, dans le genre "cocasseries anecdotiques", en 1983, des notes de "The Walk" se glisaient dans "Forever" et le thème de James Bond pouvait s'entendre parfois dans ePornography" en 1982...

rendal
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Shelley
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MessagePosté le: Lun Aoû 13, 2012 19:19    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour ces cocasseries smithienne !

Rappellez vous aussi de Rs chantant les premiers vers de Watching me fall
au debut d'Untitled à Cologne en 98 de memoire !
Peut etre je me gourre de lieu et de chanson mais en 98 c sur !
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prayer
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MessagePosté le: Ven Aoû 17, 2012 17:54    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai écouté, à présent, toutes les versions de SIHH de cette tournée Reflections…

Sur les 9 dates, les 7 premières commencent de la même façon, comme décrit dans le premier post (As stiff as toys / And tall as men / And swaying like the wind torn trees).

Ce n'est qu'aux 2 derniers concerts de New York (26 et 27/11), que Robert change à nouveau les paroles. Je capte pas grand chose, mais en tout cas Robert a l'air de prendre un certain (malin) plaisir à brouiller les pistes Shocked
Il a l'air bien conscient de ce qu'il chante. Il est peut-être pas si bourré que cà, Robert ! ! !

Je pense que ce glissement de paroles a été voulu et que sur les 2 dernières dates, il s'agit d'un p'tit délire de Robert Crazy

J'ai donc continué de chercher…

Et concernant la batterie, dont tu parles rendal, il y a quand même une belle différence entre les 2 titres. On a bien le temps de rentrer dans SIHH avec une batterie bien marquée et puis il n'y a pas cette " flûte militaire " qu'il y a sur TEW. Je pense qu'une partie du public a du être surpris ! Ils s'attendaient à SIHH et c'est les paroles de TEW qui commencent…

Toujours concernant la batterie, il se trouve que c'est exactement la même ligne que Saucerful Of Secrets des Pink Floyd Shocked Etonnant ! Non ! Pour preuve en écoutant à 1'24 (c'est juste plus rapide)
http://www.youtube.com/watch?v=hSsjxbRxgqY

Sorti uniquement en 45 tours, Charlotte Sometimes et Splintered In Her Head, nous prouve qu'il s'agit bien là d'un disque " concept " rempli de diverses influences, disons de très fortes inspirations !

Concernant la pochette de Pictures Of You (sorti en 1990) ; cà voudrait dire que la photo avec Mary dessus, a été prise en 1981 (ou avant), date de sorti de Charlotte Sometimes. Est-ce que c'est possible ?

Salut, ça va ? ghani, si tu viens dans le secteur, je suis plus près du MON que de Colmar. Je sais qui peux te renseigner.

A ce que je saches, je n'ai pas de déformation de l'oreille !

[(Au sujet du thème de James Bond, on peut l'entendre sur Pornography (Paris, Olympia 07/06/82 à 1'54) et (Nijmagen, Vereenenging Theater 07/05/82 à 1'43), quelques secondes, cà va vite...] Wink
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YOKO ONO
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MessagePosté le: Mar Aoû 21, 2012 15:03    Sujet du message: Répondre en citant

Intéressant le parallèle avec Pink Foyd. Je me souviens d'une interview de '83 où Smith parle des Floyd et de l'influence énorme de Ummagumma etc... Le mec lui demande si The Cure fait parti de cette nouvelle mouvance: la New Wave, Smith infirme, reparle de ses influences psyche/babos/classique et conclue que The Cure est Hippie New Wave (de mémoire hein, je serais incapable de retrouver l'origine) .

Trois ans plus tard il refait référence à Pink Floyd.
A propos de "In Orange": "j'avais toujours voulu faire mon Live in Pompeii"
A propos de KMKMKM: "j'avais dans l'idée de faire notre Ummagumma".

Intéressant aussi ta remarque sur les patterns de batterie. Ça correspond aussi à l'époque ou toutes les batteries sont faites par Smith lui même (septembre '81 - septembre '82, quelle incroyable année). Et se ressemblent toutes. Un genre de truc un peu primaire puis primal et tribal, lourd joué aux mailloches. Spintered, Hanging, Siamese, Porno... puis à l'été '82 sous sa tente ou la boite à rythme a remplacé les mailloches, mais les patterns sont identiques Lament, Just One Kiss, The Upstairs Room.

Pour la pochette de POY, même si c'est pas exactement le même angle, le cadre est le même. Les poutres en haut, à gauche, la forme humaine blanche, à droite devant son mirroir. Je pense que les deux datent de la même époque, mais peut être se sont ils remis exactement au même endroit 10 ans plus tard.
On sait pas, y a bien des gonzes qui t'affirment (croix de fer) que le deluxe de The Glove est re-mythonage de 2004...
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MessagePosté le: Mar Aoû 21, 2012 15:51    Sujet du message: Répondre en citant

Concernant Charlotte Sometimes, j'ai cette version là :



et on peut trouver ça et là des expressions/phrases repompées telles quelles ds les chansons sus-dites, la preuve en images (j'vous les fais pas toutes, hein) :





et pour la petite histoire, j'ai trouvé ce bouquin dans un tas de débris à Dar-es-salaam (Tanzanie)... Imaginez la surprise ...


(non vous pouvez pas imaginer)
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...
là.
...
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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2012 21:30    Sujet du message: Répondre en citant

dans le genre Robert pompe les poètes (et autres écrivains), il y en a des tonnes : Mervyn Peake en a fait lourdement les frais (in your house, the drawning man, the figurehead, le spiderman de lullaby, etc.), tous se souvienne tu At night de Kafka (Robert a avoué les correspondances pour A letter to Elise), ou encore du Camus, mais Disintegration a aussi été inspiré (d'un tout petit poème), bref, j'en ai une tonne dans mon disque dur de côté à vous proposer parce que ce fût et reste encore une de mes lubbies.

J'attend toujours une trad' française de CS, mon livre en langue originale prend la poussière, à contrario de la Trilogie de Gormenghast très sympa, à noter qu'Arte a diffusé la magnifique adaptation BBC SOUS-TITRE français évidemment il y a une poignée d'années alors que le DVD lui-même n'est pas sous-titré.

Bref merci Ghani pour l'anecdote(s) concernant Miss Farmer, c'est à croquer.

Disons que dans les 10% restant des textes de Smith s'expriment nombre d'auteurs variés et différents Laughing
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MessagePosté le: Jeu Aoû 23, 2012 10:44    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai trouvée l'adaptation de Gormenghast par la BBC vraiment nulle, j'ai lu les livres et je sais que c'est presque impossible d'adapter correctement cette trilogie à moins d'avoir le budget du seigneur des anneaux mais j'ai vraiment détestée les décors, les couleurs, voir Fuschia réduite à être une simple cruche...

Je suis d'accord pour In your house, Robert c'est suremrent inspiré de Mervyn Peake mais pour The Figurehead et Lullaby c'est vraiment hasardeux. J'ai essayée de trouver des élements qui évoquent la trilogie dans The F. mais à part le titre je n'est rien trouvée quand à Lullaby l'homme araignée est à peine évoqué. Le monstre de lullaby évoque je pense des peurs enfantines, en particuliers celle des araignées, j'ai cru lire quelque part que RS en avait peur.

Bref je pense que Robert "pompe" moins les auteurs que ce qu'on peut croire, il s'en inspire mais ajoute sa version, d'autres élements ( OK pas pour Ch.S)comme dans M, il emprunte le surnom (utilisé aussi dans la vrai vie ) et le "Hello Image" de Camus mais le reste parle seulement de la vrai Mary je pense .

Enfin je voudrais juste ajouter que The Cure m'a fait lire de magnifiques livres et en particulier Gormenghast que je recommande vivement, c'est longs, il faut rentrer dans l'imaginaire de l'auteur, mais une fois que l'on y est, c'est magnifique, très poétique !
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MessagePosté le: Jeu Aoû 23, 2012 13:17    Sujet du message: Répondre en citant

Que les paroles de Cure soient sexe and drug etc ça on le sait depuis très très longtemps..que les Cure jouent sous influence euh comme tous les autres là j'apprend rien...pour le reste par exemple Pénélope Farmer...question pourquoi cet "ouvrage" ne fut jamais traduit ? je ne peux rien en dire, ni tirer des conclusions qui ressemblent à du brainstorming...je me dis que ce bouquin ne doit pas être terrible, et j'imagine mal que le frangin de Robert puisse lire des histoires à Robert agé de 12 ans...à mon avis ya longtemps qu'il lisait seul...

pour le reste me sens pas néophyte juste je m'ennuie...

William restons positifs ça peut servir pour créacure nan ? Arrow
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rendal
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MessagePosté le: Dim Aoû 26, 2012 16:27    Sujet du message: Répondre en citant

Ah les rythmes martelés de 1981/1982...
Pour mémoire, SIHH fut enregistré la même nuit que Charlotte Sometimes: "elle devait avoir les mêmes vibrations et compléter Charlotte, et malgrè ma légérement dérangée partie d'harmonica, je pense qu'elle le fait" (Join the Dots, p. 15).
Je me souviens surtout avoir découvert ce titre sur ma K7 de "Standing on The Beach" où la face B regroupait des faces B "unavailable" dans mon walkman pourri...et elle était suivie par..."Mr Pink eyes". Vous comprendrez pourquoi ces deux titres restreront pour moi les deux plus fous et les plus génaiux aussi (dans leur genre barré).
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