CureSpotting ??

[sacarayures]

Pas vraiment un curespotting, mais plutôt une "curiosité" :
dans le livre de SF "Eon" de Greg Bear, un personnage, le géologue de l'équipe en charge de l'étude de l'astéroide mystère, s'appelle Robert Smith.
Le livre a été écrit et publié en 1985.. coïncidence ? gout de l'auteur pour notre corbeau ? rien à voir ? en tout cas ça m'a surpris en première lecture. et du coup j'aime bien ce perso...
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Catch me if I fall..I'm loosing hard...

[FlyTox]

https://www.telerama.fr/musique/le-meilleur-de-the-cure-en-seize-titres-au-spleen-lumineux-7012824.php
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...
là.
...

[sOlek]

[blabla]

https://www.leprogres.fr/culture-loisirs/2022/11/08/lyon-robert-smith-et-the-cure-ont-fait-rugir-de-plaisir-la-halle-tony-garnier

[blabla]

The Cure en concert à Lyon, une performance fleuve ponctuée par un déluge de tubes

Hugo Cassavettii
Publié le 08/11/22



Concert de The Cure à Lyon le 7 novembre 2022 -Robert Smith et The Cure sur la scène de la Halle Tony Garnier à Lyon.
Concert de The Cure à Lyon le 7 novembre 2022 -Robert Smith et The Cure sur la scène de la Halle Tony Garnier à Lyon.

Photo Maxime JEGAT / PHOTOPQR/LE PROGRES/MAXPPP

Malgré un album qui se fait attendre, Robert Smith et son groupe de rock culte n’ont rien perdu de leur fougue, pour le plus grand plaisir de leurs fans qui assistaient hier soir à la première date française de la tournée “Lost World Tour”. On y était.
Quatorze ans après un dernier album dont la suite est sans cesse reportée, The Cure se contente de reprendre régulièrement la route, fort de son statut privilégié de groupe majeur et culte, pour le bonheur des fans d’une fidélité à toute épreuve. En se rendant à la Halle Tony Garnier, à Lyon, pour la première date française d’une tournée européenne démarrée le 6 octobre dernier à Riga, on s’interroge : combien d’inédits joueront-ils, cinq ayant déjà été distillés jusqu’à ce jour ? Autant de morceaux de cette insondable et magique mélancolie qui a toujours inspiré à Robert Smith ses chansons les plus bouleversantes, à l’instar d’Alone qui introduit le show. Les deux guitaristes Reeves Gabrels et Perry Bamonte, le batteur Jason Cooper, le claviériste Roger O’Donnell et l’ami de toujours Simon Gallup à la basse, tissent longuement la toile enveloppante de l’intro, le temps que le leader ébouriffé, toujours cet étonnant croisement de sorcière et d’ours en peluche, se manifeste à son rythme tranquille, arpentant mollement toute l’étendue de la scène.

« Ainsi se terminent toutes nos chansons… », attaque-t-il enfin, de sa voix poignante et plaintive, étonnamment claire ce soir. « Seul » ? Smith chante-t-il autre chose que ce sentiment de solitude qui le hante depuis toujours et qu’il trompe en s’entourant de proches indispensables – Mary, sa compagne éternelle, et ces musiciens qui reviennent toujours à lui – ? Sa famille, aussi, malheureusement décimée ces dernières années — il a perdu ses deux parents et son frère –, dont l’absence irrigue ce nouvel album annoncé comme le plus sombre qu’il ait jamais enregistré.

Un set supérieur

La tournée ne s’appelle pas « Lost World Tour » par hasard. Chaque jour pour The Cure est un adieu à la jeunesse, un pas de plus vers la fin. Et pourtant leur musique demeure cet hymne enchanté à une vie peuplée de fantômes qui planent et de peurs enfantines qui ne s’évanouissent jamais. Symphonie gothique contre l’oubli, le concert déroule un voyage au bout d’une nuit noire qui s’éclaire pour réconforter même les plus solitaires. Ces obsédantes arabesques de guitares enchevêtrées, ces claviers joyeusement sépulcraux (!) et ces lignes de basse épaisses, élastiques, qui donnent irrésistiblement envie de se trémousser, même au ralenti.

Concert de The Cure à Lyon le 7 novembre 2022 -Robert Smith et Simon Gallup sur la scène de la Halle Tony Garnier à Lyon.
Concert de The Cure à Lyon le 7 novembre 2022 -Robert Smith et Simon Gallup sur la scène de la Halle Tony Garnier à Lyon.

Photo Maxime JEGAT / PHOTOPQR/LE PROGRES/MAXPPP

« C’est très étrange de chanter ces chansons écrites il y a si longtemps, lâche Smith, après avoir livré, en premier rappel, une rasade inespérée de Pornography. « C’est difficile, et pourtant étonnamment agréable. Je n’imaginais pas une seconde arriver à l’âge que j’ai à présent. Peut-être que je n’ai toujours pas fini de grandir. » Cold (« tout est froid comme la vie… »), A Strange Day (« tout s’évanouit à jamais… »), One Hundred Years (« peu importe si on meurt… ») emboîtent tout naturellement le pas à un poignant I Can Never Say Goodbye, chanson dédiée à son frère décédé, au beau motif envoûtant de piano sur laquelle la voix du chanteur finit par se briser… Les craintes d’autrefois sont devenues la réalité, les nouvelles (et belles) chansons – And Nothing Is Forever, Endsong – offrant l’écho d’une résilience désespérée aux joyaux angoissés du passé.


Bien sûr, le précieux son cotonneux et filandreux des débuts est loin, remplacé depuis longtemps par ce mur du son adapté aux grands espaces, qui a atteint sa perfection sur Disintegration. Tout juste regrette-t-on la batterie trop puissante de Jason Cooper, qui résonne jusqu’au fond du gigantesque hangar lyonnais. Mais qu’importe, puisque Gallup, galopant comme à son habitude, dispense magistralement cette si reconnaissable épine dorsale rythmique sur laquelle Reeves Gabrels décoche ses brillants chorus et soli dissonants. Car si le show déroule son leitmotiv lucide du « tout a une fin », ce n’est que pour mieux célébrer cette vie, en suspens, dont il faut profiter de chaque instant. Et c’est une énergie rare que déploie Robert Smith dès le deuxième titre, dans Pictures of You, une photo de son âme sœur Mary, en projection géante veillant sur lui. Et le groupe d’embrayer aussitôt avec des versions torrides de Shake Dog Shake, A Night Like This, Burn et, plus fort encore, un Hanging Garden furieux, tout en spasmes électriques.

Le meilleur de The Cure en seize titres au spleen lumineux
6 minutes à lire

Push, aux airs de Just Like Heaven primitifs, déclenche ensuite l’euphorie du public qui ne fait que monter en intensité sur Play for Today et A Forest, livrés avec une passion miraculeusement intacte. Une répétition générale pour le bouquet final du deuxième rappel : sept tubes, de Lullaby à Boys Don’t Cry, qui clôturent deux heures trente d’un set supérieur reflétant The Cure, sans le moindre flottement, dans toutes ses humeurs. Quand la tristesse et le chagrin nourrissent l’émerveillement.


À voir
The Cure, tournée française jusqu’au 28 novembre.

[Gone!]

superbe affiche, très bonne série dispo sur Arte.
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[Gone!]

Cet excellent soundboard de 84
https://www.youtube.com/watch?v=v5PnnyOPehA
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[PHILOU?]

[Soledad]

Merci Gone, (faut que je regarde The Flesh,) Philou tain the Figurehead de ce superbe Top Tour. MERCI Blabla

vient d'entendre dans The Crown boy's don't cry


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never surrender

[Gone!]

https://www.youtube.com/watch?v=RdDFvgNGx_g

excellente prestation.
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[Soledad]

Merci Gone impressionnant
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never surrender

[Gone!]

https://www.youtube.com/watch?v=g_rAFd4D9lE
cette version de disintegration en toute fin et Robert du temps ou il jouait tout du long de Pictures of you (oui oui ça change tout, ce sont les parties qu'on entend sur l'album!)
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[Fabien G]

merci pour les liens.

[sly]

Merci Gone pour ces trouvailles
Impressionnant Burn dans le détail
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Please come home

[Fabien G]

programme court sur France 2, 'Behind The Beats' l'histoire du rock, entre la météo et le film du soir, je ne connaissais pas, ce soir il parlait du CBGB où a enregistré Blondie, avec un son qui donnera la new wave (dont Cure en exemple).

[fred le mallrat]

L histoire de champs elysées deuxieme partie 86-90 sur France 3 avec un bout du premier passage du groupe puis les anecdotes Druckerienne sans trop d interet

[Fabien G]

J'avais souvenir que Drucker à l'époque ne voulait plus les inviter ("il ne faut pas cracher dans la soupe"), mais là en souriant il raconte qu'ils avaient laissé la loge en vrac.

RTL Best Of des Grosses Têtes, quel groupe a commencé par deux frères et une sœur dans le groupe the Crawley Goat Band? Caroline Diamant a trouvé à la fin.

[sly]

Drucker n'avait pas apprécié effectivement que le groupe "crache dans la soupe", ils avaient juste dénoncé le playback obligatoire d'où le fameux épisode des robes à fleurs.
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Please come home

[olivier31]

En ce moment sur RMC story. Les grandes gueule. Une des "grandes gueules" porte un T-shirt de The Cure. Boys don't cry (1985)

[blabla]

Même figaro (je n’y suis pas abonné
À la clinique suisse Nescens, où officie Nicolas Belleux, psychiatre, l'hygiène mentale fait intégralement partie de la Cure Reset, un programme longévité personnalisé. «Je vois le niveau de stress exploser au détriment des capacités physiques et psychiques, constate-t-il. Le mal-être sociétal, les états anxieux et dépressifs ne cessent d'augmenter (....)