D en donnée RAW

[D-WAVE]

D complétement allumer au Champagny ;
D heureux 68 cartons à retrouver ses vieux Master ainsi le lecture attribuer ;
40 secondes de Vram ; intéressant
le coup extraction de donnée RAW va être compliquer et ultra expansive ;
corroboré par 3 techniques différentes ; fibre / donnée "firewire je crois" et hacking extrême avec des analyser en données..

être sur d'avoir les données "RAW" est quelque peut compliquer.

cela dit

l'influence comme toutes sources analogique ou numérique est toujours rattacher à la tête d'enregistrement.

un peu confus ; j'ai un maître Digital ; un sur k7, un sur du 15 ips

le voyage dans le temps va être intéressant

déjà la vitesse sur playeur tape moderne; trop rapide

D à encore les réglages sur son vieux rec/play encore intacte aussi

D dans sa caverne d'Alibaba à aussi découvert une bonne 10 de tape machine ; ouf

et je devrais techniquement tous réécouter en branchant les machines en direct et renumériser à partir de la source original.

la copie de secours 2éme génération est quelques peut variable suivant les machines ; parfois proche : parfois re-syncro accélération puis lecture avec music scope (dont j'ai eu un sentiment d'estime ...)

l'euphorie d'irradiation de la phase avec RX8 sur un fichier 1 bit (source dsd) 88.2

pleins d'effet placebo est l'audionumérique.

les mesures technique corrobore bien ;
AKM / ESS sur l'accordage dont l'un upsample pas / l'autre oui
la raison principale est le bitrate "low"

l'edition audio change aussi l'accordage

en bref c foutu à 44.1/16 ont peut être au maximum d'une variable d'un 1/2 ton dans meilleur des cas.

je vais certainement archiver mon maître à 15 ips

no computer à 24/192 ; beaucoup trop de variable externe

rejouer un truc 10 ans / 20 ans et plus peut être très compliquer

à noter le son 44.1/16 est un format de sortie dans une machine numérique
à l'intérieur pas vraiment

[D-WAVE]

Pourquoi D ne peut pas dématérialiser la musique :

variable sur les moteurs audio

variable entre la source diffuser et la version numériser ;
exemple : led zeppelin enregistrer à 24/192 diffuser à 24/96 ou USB 24/48 the beatles numériser à 241/192

la machine en circuits fermer ok ; aucun bit en test d'analyse ; normal LC en acquissions de données / et AKM en lecture ; sinon l'accordage est très proche sauf non ; variable entre la gauche et la droite non vérifier

LC peut être un peut brumeux en acquisitions qui travaille à 352 khz (déjà vu dans le milieu mi 95 je crois

sinon le MONO Beatles (pas de circuit fermer) est AKM (encore un mal de tête aussi )))) intéressant ; mais pas en circuit fermer ; ce que je veut dire
pas rattacher à tous un system

sans parler des vinyles numériques ; c foutu

dans beaucoup de cas ont doit être entre une 2éme copie au minimum
ou une table de mixage sans branchement en direct tape machine

rien que ça indique ; éloignement de la source dans le temps

ou effacement . excès de modernité ; ou relecture à la vitesse proche compliquer

le mastering devrait être prohiber d'une déformation temporelle la plus probante ; ce qui veut dire très éloigner des points d'temporelle proche ; pseudo proche.

une variable (+/-) déformatrice du temps

conclusion ; un modeste DAC moderne à prix bas est votre seul arme (mesure technique respectable)

cela dit j'ai trouver réverbérant certaine machine vis à vis de la source.

[D-WAVE]

D à trouver ce que cherche vraiment les pressionnels ;

la problématiques de variations d'accordage d'un 1/2 ton
la précision est excrément compliquer mais pas critique
la couleur tonal ;
la monter dynamique
le true peak ;
transitoire ;

je dirait d'abord le bitrate minimum avant

10 pourcents aléatoire est déjà viable pour moi en PCM

je ne parle pas du noise shaping "psychédélique" qui génère aussi une décomposition lente

pleins de saveurs