PARIS 28/11/22

[lorelei]

J'ai adoré ce concert. Un petit résumé:
- J'ai trouvé que la moyenne d'age était élevée. Je sais moi aussi je vieilli. c'était sympa de voir des gamins avec leurs parents, j'ai essayé d'amener les miens mais ils n'ont pas voulu (déjà qu'on entend the Cure à chaque trajet en voiture, on préfère rester à la maison).
- Set list top avec une mention spéciale pour Faith, At night, Charlotte sometines et strange days.
- J'étais en carré or et le public était vraiment dynamique, ça chantait, ça dansait.. On avait tous retrouvé nos 15 ans. Y'avait vraiment une bonne ambiance.

Bref je ne me lasserai jamais de les voir en live et j'espère que cela ne sera pas la dernière fois mais plus les années passent, plus on sent la fin approcher et ça me met un petit coup de blues.

Je n'ai fait aucune photo ni vidéo, désolée, j'ai juste profité de l'instant.

[Gone!]

[valere]

Une toute petite



Ces photos là ne gênent personne





Un concert grandiose. L'affront Paris 2016 est lavé.

[Prayers-Ek]

Nostalgique, mélancolique mais profondément heureux.
J'ai regardé, écouté j'en ai pris plein les yeux les oreilles
Inoubliable

Merci à eux....

No photos, no vidéos, j'ai tout voulu avoir et le garder gravé....

Bon retour sur terre les amis
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" I Will Never Be Clean Again .... "

[prayer]

Content d'avoir rencontré quelques membres du forum
Et heureux d'avoir pu distribuer quelques " Limited Edition " du prochain nouvel album
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"les albums de The Cure, je les aime tous, mais à des degrés différents" (prayer 2008)

[sOlek]

Je suis catégorique, c'est le Meilleur album !





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[prayer]

[PHILOU?]

Chocolate Mix 😁

[rob]

ça y'est rentré de Paris à l'instant
parti samedi à 6h00 de périgueux en tain pour rejoindre notre fille à paris.
direction disquaire pour trouver le sesam en picture disc.
samedi soir soirée "atomic cure" à bastille
soirée superbe très calme au début mais alors après superbe ambiance, j'ai fait la connaissance d'un fan venant du brésil et qui habite en allemagne. Pas facile de communiquer moi qui parle aussi bien que Robert, mais que du bonheur, les organisateurs super sympa ils ont offert un badge noir avec le nouveau logo avec la tour effeil derrière en bleu ou rouge. Retour au 16em à 2h00 et plus de voix.
dimanche promenade au marché de saint-ouen et aux champs-élysée, pendant la victoire maroc belgique "un vrai bordel".
Dimanche soir détour à chatelet pour quelques pintes en happy hours et soirée tranquille au mac do
lundi visite de l'assemblée, l'élysée et les quartiers chiques à vandommeje me dit tien on va essayer de trouver l'hotel où le groupe pourrait etre
quelques mercedes vito noir mais rien...
je tombe sur 2 curistes avec qui on échange pas mal ils sont de Lyon.
Retour au 16eme pour se préparer et direction bercy au bar du spectacle où l'on rencontre poqui et un ami, on boit 1 verre ensemble échange très sympa également.
Ensuite direction au POP bercy pour s'installer en gradin rang G ( coté Roger) on est bien placé, il pleut pas mal, Arrive TTS préstation sympa surtout the girl in the corner. 20h37 ça y'est gros orage etc'est parti pour un show incroyable, toujours impressionné par la prestance du chanteur et ce son... les ayant vu à Toulouse et Bordeaux et suivi les set list, je savais plus ou moins les titres mais à chaque fois une émotion. Arrive Want je me dis mouais mais alors quelle claque une voix une instru... le son au top du top. le reste vous savez. le dernier rappel un peu leger mais ma fille (19 ans) a adoré. Je m'attendais à un peu plus de titres car concert commencé plus tôt et paris quoi, mais non 7 titres, apparemment c'est le l'accor arena qui à exigé de finir plus top(info d'un gars dans la soirée. bref un concert génial qui a défilé fulgurante. un public sympa dans les gradins ça danse et bouge un peu. Par contre la sécurité se sont pris pour des cowboys aucunes tolérances et très désagréable surtout avec les femmes.
Après le concert petit tour au marchandising 3 T shirt 1 top bag pour madame et les broderies. ont recroisent les gars du matin et après une dernière pinte bien méritée. pu is retour au 16eme à 4h00 du matin car problème sur une ligne de metro du coup 3 bus différents à 3 endroits différents et j'avoue ont étaient pas rassurés.
aujourd’hui départ à 12h00 et là aussi train retardé de montparnasse du coup arrivé en retard à bordeaux et trains décalés.
Voila ma review, encore merci au forum aux curistes rencontrés et surtout au groupe qui nous a fait vibrer à Bercy. Et mention spécial aux fans qui ont allumé leur portable après le 1er set c'était magnifique.
bye Rob

[blabla]

Selon le Figaro
The Cure à Paris : trois heures d'un sidérant concert qui flirte avec le sans-faute
L’article est réservé aux abonnés (je ne le suis pas). Dans le petit bout accessible gratuitement on y lit que le premier titre est Amine : en sauraient ils plus sur le nouvel album,? Il me semblait que c’était Alone...

[Gone!]

L et O du clvier sont proches du M et du I
ou sinon correcteur automatique
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[Bernie]

Merci beaucoup Prayer pour ton édition limitée, elle est craquante !
Ravi d’avoir fait ta connaissance ainsi que ton épouse.

Un lundi comme on en voudrait toutes les semaines !
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http://www.myspace.com/thisismyclone
http://jeromekazoo.free.fr

[Holden]

Le compte rendu du Figaro en intégralité (en résumé : "le prochain album du groupe, que l'on attend depuis plusieurs années et pourrait voir le jour en avril" P%t#*n, avril !) :


The Cure à Paris : trois heures d'un sidérant concert qui flirte avec le sans-faute

Dernière étape d'une petite tournée française, la soirée proposée par le groupe de Robert Smith a tourné au triomphe lundi.

Il est des rituels dont on ne se lasse jamais. Aller écouter The Cure à l'Accor Arena de Bercy en fait partie. Depuis 1985, la formation de Robert Smith s'y est produite à neuf reprises. Trois ans après une prestation donnée en plein air dans le cadre du festival Rock en Seine, The Cure a assuré la dernière étape d'une petite tournée française dans une salle pleine à craquer. Dans la sono, des sons de pluie et d'orage. Bientôt, sur scène, les musiciens et leur leader, qui déambule de cour à jardin avec sa démarche caractéristique. Si sa silhouette s'est épaissie avec les ans (il a 64 ans) et que ses cheveux ne sont plus aussi flamboyants qu'auparavant, Smith est doté d'un charisme aussi extraordinaire qu'inusable.

Alors que le groupe n'a pas sorti de nouvel album depuis 2008, la soirée commence par une nouvelle chanson, Amine, puissamment mélancolique et alanguie, bien dans la manière de son auteur. « C'est agréable d'être de retour ici », commente ensuite Smith, à son aise sur scène avec, déjà quelques standards du répertoire comme Pictures of You, A Night Like This ou Lovesong, qui ravissent la foule compacte et chaleureuse. Nothing is Forever (Rien ne dure), au titre programmatique, plombe l'ambiance. Cette chanson inédite narre les affres du vieillissement selon Robert Smith. Sur cette mélodie, le sexagénaire à la voix miraculeusement intacte ne fait pas mystère de la profonde angoisse qui le ronge depuis quelques années, lors desquelles il a perdu à la fois ses parents et son frère.

Si le spleen n'a jamais été étranger à Smith, celui-ci l'a rarement explicité aussi clairement depuis les premiers vers de Pornography, en 1982 « Peu importe si nous mourons tous ». The Last Day of Summer, tirée du dernier bon album de The Cure, Bloodflowers poursuit cette ambiance.

C'est devenu une marque des concerts récents de The Cure : une première partie un peu hésitante, pas très accessible, axée sur des morceaux en demi-teinte. Le groupe a trop de métier pour faire cela par hasard. Après un inutile extrait de Wild Moon Swings, leur pire disque, et une nouvelle compo assez enlevée, A Fragile Thing, le groupe aborde une magnifique séquence avec le très rock Burn, malgré des projections assez hideuses sur l'écran en fond de scène. At Night, tirée du chef-d’œuvre Seventeen Seconds, avec son riff presque metal, a conservé toute son incandescence. De la cold wave, peut-être, mais fiévreuse et brutale. The Figurehead, perle noire de Pornography, angoissante au possible, poursuit.

Inédits et classiques

Le groupe est un modèle de cohésion. Stabilisé depuis l'arrivée du guitariste Reeves Gabrels, ancien lieutenant de David Bowie, en 2012, il vient d'accueillir un revenant en la personne de Perry Bamonte, à la guitare rythmique. L'inamovible Simon Gallup, à la basse depuis 1979, assure les fondations du son. Très percutant mais très équilibré, ce dernier habille l'espace. Push, Play For Today, le concert aborde son rythme de croisière et montre que le groupe n'a rien cédé de son exigence. The Cure profite de la réédition événement de l'album Wish, trente ans après sa sortie, pour en interpréter un extrait, From the Edge of the Deep Green Sea.

Endsong, qui conclut ce premier set, est une autre chanson inédite, qui devrait figurer sur le prochain album du groupe, que l'on attend depuis plusieurs années et pourrait voir le jour en avril. Longue pièce aux accents progressifs avec une belle intro instrumentale, elle clôt à merveille la première partie de la soirée.

Apocalypse thermonucléaire

Le premier rappel s'ouvre sur une autre chanson inédite, la triste et élégiaque I Can Never Say Goodbye, dédiée à Richard Smith, frère du chanteur, disparu en 2019. Mais c'est avec Faith et A Forest, pièces légendaires de la geste curiste, que le concert tutoie les sommets. Sur cette dernière - peut-être la plus grande chanson du groupe - la basse de Simon Gallup mène le bal, qui s'achève dans une saturation qui évoque rien moins qu'une apocalypse thermonucléaire.

La troisième séquence du concert sera quant à elle tournées vers les tubes pop récoltés par le groupe tout au long de sa carrière longue de près de 45 années. De la comptine Lullaby à The Walk, en passant par la très Beatles Friday I'm in Love ou les perles du milieu des années 1980 que sont Close to Me, In Between Days et Just Like Heaven, jusqu'à l'antique mais inusable Boys don't Cry, The Cure aligne un sans-faute et achève de nous sidérer. Près de trois heures de musique dans laquelle Robert Smith a injecté sa vie, beaucoup évoqué les nôtres et donné une leçon à toute une génération.

[babyscream]

Trouver sur Cof

https://t.co/NZoANzHim5


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lol

[prayer]

[deepgreensea]

[quote="sOlek"]Très bonne prestation des Cure.

Toutefois, trois choses probablement liées m'ont choquées particulièrement ce soir (Oui, un Parisien ça râle...) :

Le prix des places

Le public amorphe.
Je me suis fait reprocher par les gens autour de moi de m'agiter, notamment sur Push et Play for Today...
alors que j'étais vraiment tranquille...

La proportion et la sévérité du service d'ordre.
Pour exemple, cette personne dandinante dont le pied franchie la ligne jaune va se faire rappeler à l'ordre dans les 20sc :

et c'était comme ça durant tout le concert.

Punks are Dead, Les concerts de Cure en 2022, c'est vraiment un truc de bourgeois

"Les lumières avec vos téléphones c'est très jolie mais ça consomme beaucoup de batterie quand même..."
R.S.

C clair jamais vu un concert des Cure avec un public aussi amorphe dans la fosse , on est loin des Concerts de 2008 sur 10:15 ou Killing …

[Holden]

[sOlek]

Quelqu'un a t'il compris ce que raconte Robert au début du rappel après l'histoire des jolies lumières et des batteries de téléphones ?
Ça a l'air marrant mais j'ai pas capté...




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[Linkeyes]

Quelques émotions fortes de cette soirée à partager...

Un début de concert qui tourne, un peu, comme Strasbourg (sauf que debout dans les gradins dès le début de l'orage et jusqu'à la fin, quelle ambiance...) où je me dis que ce sera peut-être un nouveau rappel Disintegration (sauf que déjà fait en 2019 à Paris avec Plainsong)...

Et encore Last Day Of Summer qui m'emporte, comme à Strasbourg justement !
Je crois que sur le coup, je n'ai pas trop suivi Want qui arrive juste après, pourtant énorme.

Le rythme reprend, tranquillement jusqu'à Burn...

Et... At Night... là je me dis, on s'envole ailleurs !
Plus possible de se poser, Charlotte Sometimes puis FIGUREHEAD attendue et inespérée (dernière fois pour moi ce 25 juillet 1998 à Lyon Fourvière avec l'histoire que vous connaissez et ce rappel "We try Figurehead' !...) !
Je suis... nothing... impossible à décrire...

Play For Today et Paris 1992 (souvenir pour moi des 2 premiers soirs) Oh Oh Oh.......... C'est le soir des retours en arrière, un peu violent à force.

Si A Forest arrive après... le 1er rappel en dépend...
Et non... Skake Shake Shake... Dog Shake surpuissant !

Avant de s'écraser sur The blood Red Moon !

18 titres dans ce 1er set (au lieu de 16 donc sur les autres dates, autre exception ?...)

Alors on y est... 1er rappel et les luminions de Bercy "c'est joli" Robert Say !

I Can Never Say Goodbye encore et toujours toute en émotion, comment en être autrement, la voix est juste déchirante et fais mal...

FAITH aussi inespérée pour moi (sans compter les autres dates, comme Figurehead, difficile à imaginer juste avant cette tournée...), retour encore en 2008 même endroit et un autre temps suspendu !
On est en plein dans le temps qui passe ! End of Every Song !

A Forest clôture, avec combien de Again and...?...

Même le rappel dit "pop" ne permet pas de sortir d'ici, on sait que c'est bientôt fini, la transition vers la sortie est trop courte et la chute plus violente encore !

See You Again Robert Say ! Ok mais il le dit à chaque fois et sur chaque date donc de plus en plus difficile à entendre pour savoir que... nothing...

Il a pas envie de partir et moi (nous...) non plus ! Alors reste !...

The CuRE Forever !


P.S. : pour rien gâcher de cette fin de soirée, je croise en sortie des gradins Stuart Braithwaite de Mogwai, qui a eu la gentillesse de faire la photo qui va bien, échange bref de remerciement aussi pour son groupe que j'ai pu voir pas mal de fois sur Lyon (bon, il était pas prévu que je l'accompagne voir le groupe qui jouait ce soir-là à Bercy...) !


Un petit lien pour le souvenir "The Figurehead" :

https://youtu.be/3XB_JaU-ZSE?list=PLDVlZ851UdwtLB3Ecy0H-lnCaLc77UHht

P.S. 2 : à 4'12 environ on voir bien (il me semble) que Perry est pas là pour rien...

[YOKO ONO]